LA PHOTO COMME UNE CARESSE
Je suis venu à la photographie en 2008 quand les Cybershot
de Sony avec leur résolution de 10 Mo pixel
sont arrivés sur le marché.
Enfin une résolution suffisamment importante
pour permettre des impressions.
Mais ce qui m’a plu particulièrement c’est que Sony
remplaçait le viseur oculaire par un écran
de 7 pouces au dos de d’appareil.
Ce qui m’intéressait est que
l’on n’abordait plus la photo uniquement
avec l’œil mais également avec la main.
de Sony avec leur résolution de 10 Mo pixel
sont arrivés sur le marché.
Enfin une résolution suffisamment importante
pour permettre des impressions.
Mais ce qui m’a plu particulièrement c’est que Sony
remplaçait le viseur oculaire par un écran
de 7 pouces au dos de d’appareil.
Ce qui m’intéressait est que
l’on n’abordait plus la photo uniquement
avec l’œil mais également avec la main.
La main prenait la priorité sur le regard.
La photo devenait subitement caresse.
Ne plus se cacher derrière l’appareil
mais prendre un peu de distance.
Tenir l’appareil à bout de bras permettait
de ne pas quitter son sujet des yeux et
offrait des possibilité de cadrage jusqu’ici inédit.
Sur cette série aquatique, le corps devenait une île,
un paysage sans cesse renouvelé. Depuis je n’ai jamais rien fait
d’autre que de prolonger ce moment. Le nu sera mon sujet.
La photo devenait subitement caresse.
Ne plus se cacher derrière l’appareil
mais prendre un peu de distance.
Tenir l’appareil à bout de bras permettait
de ne pas quitter son sujet des yeux et
offrait des possibilité de cadrage jusqu’ici inédit.
Sur cette série aquatique, le corps devenait une île,
un paysage sans cesse renouvelé. Depuis je n’ai jamais rien fait
d’autre que de prolonger ce moment. Le nu sera mon sujet.
UN SOIR, UN CHIEN - RITAS MITSOUKO
